Collection Cocu. By-CœUr Allemands. Fin De La Saison Ii (6/6)

S’il y a un dieu qui protège les femmes cocufiant leur mari, il doit être puissance dix pour moi.
Alors que dans notre délire alcoolique et érotique avec les motards allemands, nous avions oublié de prendre nos pilules contraceptives.
Alors que les pharmacies du secteur étaient en rupture de stock de pilules du lendemain à cause de problèmes d’approvisionnement dû au Covid19.
Avec la chance de la demande dans la voiture les amenant vers nous, de Jules, mon fils très chéri d’avoir une petite sœur me permettant de taire à Sylvain notre soirée de grands débordements, risquant de briser notre couple.
Karine m’ayant bien aidé en grande courtisane qu’elle est, du moins c’est ce qu’elle m’a dit.

C’est au café près de la piscine de Vic-sur-Cère que notre vie va basculer.
Sylvain, mon mari, récupère le journal local pour regarder les résultats de l’Euro million.
Il récupère leur billet dans son portefeuille où je l’ai placé l’ayant trouvé dans sa poche de jean avec de la monnaie au risque de le perdre.
Il semble avoir vu un loup en sortir et avoir perdu sa voix.

• On a, on a, on a.
• Quoi, accouche !

Là, en prononçant ces mots, je vais un peu loin, surtout après la nuit que nous avons passée.

• On a, on a gagné.
• Le gros lot, les 167 millions ?
• Non, une plus petite somme, 2 millions deux cent mille euros !
• Tu rigoles.

Non, que disait Mario lorsque j’ai trouvé le billet, une chance de cocu.

• Ce soir, nous resterons à Vic, je vous paye le resto.

C’est tard que nous rentrons et que nous fêtons la fortune nous tombant sur les bras.
Au restaurant, j’ai mangé des tripoux, spécialité de la région.
L’amour, les poches bourrées de billets, même si avec leur cabinet d’architecte, nos hommes nous procurent tout ce que nous décirons.
Hier, c’était en levrette, pour justifier les débordements de la veille.


Je me souviens de ma promesse et doucement je le place là où ça fait mal la première fois.

• Oh, chéri, je suis le plus heureux des hommes, je sais pourquoi je t’ai épousé.

Pour que je le cocufie, mais là je garde ça pour moi.
Mince ça fait mal, mais je sens qu’avec de l’habitude !
Je comprends qu’il veut que je bouge, en levrette comme hier, mais directement dans mon anus qui cède avant qu’il me prenne par mes cheveux et qu’il tire vers lui.
Une pouliche tirée par ses rênes, c’est la sensation que j’ai.
Et dire que j’ai attendu autant de temps.
Il finit dans ma chatte, reprenant les voies naturelles.
C’est du sommeil du juste que je m’endors, je vois des billets, des milliers de billets, un million cent mille euros rien que pour nous.

Le lendemain nous nous réveillons avec la gueule de bois.
Le schnaps, non, la chance que nos hommes aient acheté ce billet surtout que lorsque j’étais fidèle, zéro, nada, juste le remboursement du ticket.
Nous avons commencé les cours de natation des s, nous décidons de continuer, le danger étant toujours le même.
J’aime l’eau, j’aime nager et nous passons une agréable après-midi, sans oser parler de ce que nous ferons de cette argent, les uns ou les autres.
Nous retournons boire un verre au même café, c’est Mario qui offre aujourd’hui.
À un moment, Karine s’excuse, elle doit s’isoler.
La nature est la nature, personne pour s’étonner.

Le lendemain nous avons nos habitudes, chacun son tour, Sylvain ouvre son portefeuille regardant le billet que nous décidons d’encaisser à Paris.
Rebelote, il faut que Karine aille faire pipi.
Sachant les turpitudes qu’elle m’a avouées, quand je vois un homme entrer à son tour derrière elle, le doute me prend.
Beau gosse, aussi musclée que Sylvano avec des tatouages sur les bras et une touffe de poils noirs sortant de son marcel.
Peu de temps, mais assez tout de même pour en prendre plein la chatte.

Le lendemain, je suis aux aguets, l’homme est là, l’envie de faire ses besoins pour Karine aussi y passant le même temps environ que la veille.
Lorsqu’elle revient à mon visage, elle me montre qu’elle sait que je sais.
Dans la soirée, nous sommes seules sur la terrasse, les s sont couchés et nos hommes au café du village pour voir un match européen ou jouent Paris.
Pendant les vacances, nous interdisant la télé, impossible de voir le match à la maison.

• Karine, maintenant que tu m’as fait tes confidences sur tes turpitudes, dit moi ce que tu fais avec l’homme en Marcel avec de gros bras.
• Tu vas me trouver un peu vicieuse, mais j’aime les endroits insolites et le risque d’être prise en flagrant délit.
Les chiottes sont très propres et j’ai pris des pieds d’enfer.
Au risque de te faire prendre et me faire prendre en rapport de l’autre soir par nos maris.
• Tu as raison, il m’attend demain, c’est toi qui iras lui dire que c’est terminé.
Si c’est toi qui vas aux toilettes, si nos hommes ont des doutes, ils disparaîtrons, tu es toujours restée assise.

Le lendemain, il est là.
Nos hommes pleurent la défaite de l’équipe du P.S.G contre le Bayern de Munich et non celle de Hanovre.
Je me lève me disant que nous sommes connes, pourquoi me suivrait-il, c’est Karine qu’il attend pour la sauter.
Le faite de me lever déclenche une envie d’uriner.
J’y vais.
Je tire la chasse et je sors.
Il est là.

• Hier, ta copine m’a dit que c’est toi qui viendrais, que tu avais envie de profiter de ma grosse queue.
Entre dans les chiottes, écarte tes jambes et mets tes mains sur la cuvette.

Je suis trop docile, mais le fait de savoir que cette queue au fond de moi à quatre-vingt-dix-neuf pourcents de chance d’être surprise.
Ça a bien fonctionné avec ma copine et elle semble avoir été satisfaite.
Quand je m’exécute et qu’il entre en moi ayant écarté ma culotte de maillot de bain, je sais que je me suis fait piger, hier elle ignorait que j’allais lui faire une réflexion sur son adultère.

Mon corps et mon sexe s’enflamme autant qu’il l’a fait l’autre soir.
L’homme dont j’ignore le nom et dont je suis sûr qu’il me restera inconnu.
Au moment où un orgasme me fusille, il me met la main sur la bouche pour que mon cri reste en moi.
Le black, ses copains, du moins ceux qui m’ont prise, Sylvain et maintenant celui que j’appellerais Marcel, si je suis enceinte, j’aurais du mal à dire qui est le père.

• Ta copine est une vraie salope, tu es aussi bonne dans ton genre.
Demain, même endroit, même heure, toi où elle, ça m’est égal.
Ma queue est à votre disposition.
Putain, se faire enfiler à deux doigts de vos maris, quand je rentrerais de vacances et que je dirais ça aux copains, je passerais pour un Marseillais.

Laissez seule, il faut que je me dépêche de retrouver ma famille.
Un coup de papier toilettes, l’homme sachant y faire m’a envoyé une grande quantité de sperme qui coule le long de mes jambes.
De retour à la table, Kylian dont j’ignore qui sait, dans la bouche de Mario avec l’assentiment de Sylvain semble avoir loupé l’immanquable.
Le foot et moi, ça fait deux.

• Tu en as mis du temps, il y avait la queue.

L’allusion ironique de mon amie au piège qu’elle m’a tendu manque de me faire dire une bêtise.
J’ai failli lui demander « quelle queue. »

• Karine, que veux-tu dire, à quelle queue fais-tu allusion ?

Sylvain une fois de plus fait de l’humour envers moi me le prouvant après le baiser qu’il me donne lorsque je suis assise à ses côtés.
S’il savait qu’une nouvelle fois il a vu juste.
Bref, le demain, nous sommes de nouveau de piscine, Jules et Carole ayant leur dernier cours de natation.
Les s savent nager nous apportant de la sécurité dans l’avenir.
J’ignorais que l’on pouvait apprendre à nager si vite, comme j’ignorais que l’on pouvait plonger dans l’adultère si rapidement.
Quand nous retrouvons la voiture, Sylvain qui conduit veut s’arrêter au café, je suggère de rejoindre celui du village de Thiézac pour changer un peu.

Lorsque nous passons devant le lieu où une nouvelle fois monsieur muscle nous attend, il est là, dommage ce soir il gardera sa grosse queue dans son pantalon et ses muscles dans son Marcel...

Voilà fin de la saison II, dans quelques jours, certainement dans la saison III nous découvrirons la fin des aventures de Karine et Jannine.
Jusqu’où Karine entraînera-t-elle Jannine dans ses débauches.

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